• L’Enfant inouï

    musique Laurent Cuniot
    livret et mise en scène Sylvain Maurice

    Une fable fantastique sur les pouvoirs de l’imaginaire, à dévorer des yeux et des oreilles.

    Seul à la maison pendant que ses parents travaillent, Henri s’adonne à son loisir favori : les livres. Sauf qu’il ne les lit pas, mais les mange. Doté d’un appétit insatiable, le garçon dévore bientôt des bibliothèques, développe un pouvoir inouï… et tombe malade.

    Sylvain Maurice s’associe au compositeur Laurent Cuniot pour emmener les enfants vers le plaisir de l’opéra. Henri et les adultes qui l’entourent prennent corps dans le timbre léger et saisissant de la chanteuse lyrique Raphaële Kennedy. La flûte, la clarinette et les percussions rythment les péripéties et restituent, au-delà des mots, les dimensions poétiques et ludiques du récit. La vidéo offre, quant à elle, des prolongements visuels étranges et fantastiques à cette fable où l’arbre succulent des livres nous dévoile la forêt nourrissante de la connaissance.

    Musique Théâtre | Pass Tribu
    Dès 8 ans |
    Petite salle | 50 min
    • sam. 3 déc. 22 : 17h00
    Partager
     

    Distribution

     

    avec Raphaële Kennedy soprano
    Ensemble TM+
    Anne-Cécile Cuniot flûtes
    Étienne Lamaison clarinettes
    Gianny Pizzolato percussions
    scénographie Antonin Bouvret
    vidéo Loïs Drouglazet
    lumière Rodolphe Martin
    costumes Léa Perron
    son Yann Bouloiseau
    régie générale Rémi Rose

    production déléguée TM+ / coproduction Maison de la musique de Nanterre – scène conventionnée d’intérêt national – art et création – pour la musique, Théâtre de Sartrouville et des Yvelines–CDN, Opéra de Massy, La Muse en Circuit : Centre national de création musicale / avec le soutien de la Sacem, de l’Adami, de la Spedidam et de la Maison de la musique contemporaine / texte édité aux éditions Kaléidoscope, 2011 / photos © Elizabeth Carecchio

    ....

     

    La presse

     

    « La performance tout en fraîcheur et vitalité de Raphaële Kennedy, à laquelle la partition ne laisse pratiquement aucun répit, est spectaculaire. » ResMusica

    ....